Salut,
Je me nomme Lsd-Mortel en jeux et Jason en vraie vie.J'ai 13ans et joue passe presque tout mon temp sur l'ordinateur. Je joue un iop air level 75 je vais bientôt
être de niveau 80 pour la guilde (Si vous m'accepter). Un peu plus sur ma vie, je vais fait mon étude comme tout le monde. Je suis un Québecois, je suis un gamer et quelque fois je travaille. En gros je joue de 4-6h par jour .
Petit Rp :
C'était il y a très longtemps... À l'époque où Bonta était encore maîtresse du monde. Ces magnifiques tours blanches, dominaient Amakna et s'apercevaient jusqu'à l'ancienne Amakna. C'est d'ailleurs comme ça, que quelques années plus tard, on l'a surnomma « Cité blanche »...Cité blanche...morte plutôt. Les attaques de Brakmar, la Cité Sombre, se firent plus massif. Moins nombreux, les attaquants de Brakmar tombèrent vite sous les coups célestes de la Cité des Anges. Mais les épuisèrent plus, certes... C'est à partir de là, que mon récit commence...
Chapitre I : La mort d'une Cité puissante.
J'étais dans la première vague, ce jour-ci. Je n'avais pas l'habitude d'être commandant, mais les ordres d'Oto Mustam était juste, inviolable. J'emmenais donc les guerriers assoiffés de sang, au dernier assaut de la Cité Maudite, comme on l'a surnomme à Brakmar. Elle tomberait sous cette attaque, cette fois-ci. Nous partîmes donc dans les Landes De Sidimotes, le seul et unique chemin menant à Bonta rapidement. Comme nous l'avions prévu, les défenseurs de la Cité Blanche étaient présents. Ils étaient épuisés... Amayro ne laissait donc aucun repos à ces soldats ? Quelle cité cruelle.. Nous les tuions donc.. Une fois devant la porte de Bonta, les archers nous attaquèrent. Cette fois, une bonne centaine de mes hommes moururent. Mais ce n'était guère mon problème. Nous étions venus à plus de dix milles. Les archers se replièrent, en continuant de nous attaquer à distance. Nous en profitoons pour mettre le feu. Quand soudain, une sacrieuse débarqua. Cette meurtrière arriva à tuer plus de milles hommes en l'espace de quelques secondes. On l'encercla, et comme le voulait le code, j'allai négocier... Enfin parler.
-Pourquoi tant d'acharnement ? Dit-elle.
-Pourquoi ? Nous ne sommes pas ennemis depuis plus de cinq siècles ?
-Connais-tu juste les raisons de cette guerre ?
Cette question me laisse perplexe.. C'est vrai, ce qu'elle dit. Je ne connais pas les raions des assauts que nous meunions depuis plus de cent ans.
-Ne voudrais-tu pas me les expliquer ?
-En quoi ça vous intéresserait ? Vous ne cesserez pas de nous attaquer.
-En honneur de Bonta, je voudrais savoir. J'aurais au moins appris quelque chose de concret.
-Soit. C'était il y a donc plus de cinq siècles, les deux cités étaient en paix, elles échangeaient leurs marchandises, et tout se passait bien. Jusqu'au jour où un homme, venant de Brakmar, n'avait rien d'autres à nous proposer, que de voir la Princesse. Nous n'avions aucune doute, nous aurions mieux fait... Une fois arrivé devant sa chambre, l'homme s'agenouilla, et demanda sa main. D'après les Anciens, ils avaient échangé de longues correspondances. Cela ne nous dérangeait point. Nous organisions donc les festivités. Venu le jour du mariage, leS PrêtreS de Bonta et de Brakmar scellèrent l'union. C'est là, que ça a commencé. Les jeunes mariés ne s'aimaient pas, ils avaient un but. La princesse tua donc le Prêtre de Brakmar et le nouveau Prince tua le Prêtre de Bonta. Après un sourire, ils mirent feu à l'assemblé. C'est comme ça que la guerre s'annonça...
Un grand silence se fit sentir...
-Ton nom, sacrieuse.. S'il te plaît... Suppliais-je
-Je me nom...
Avant quelle dise son nom une flèche, venant de la seconde vague, se figea au centre de sa poitrine, la laissant sans souffle.
-Moi, sacrieuse, je me nomme Fiire-Black, ce qui veut dire « Feu sombre » en Brakmar. Je suis l'être le plus redoutable, après Oto Mustam. Je te fais la promesse de restituer l'honneur de la Cité Blanche...
Je m'en allais, laissant mes soldats finirent de détruire Bonta. J'avais fait une promesse, je ne reviendrais pas sur ma parole. J'écrivais une missive à Oto Mustam, et je désertais.